Ces dernières années, les éleveurs ont construit un nouveau bâtiment pour les vaches, comprenant à la fois le logement des vaches et la partie salle de traite, contention et laiterie.
Benoît Gavel : « L’important, c’était d’avoir un bâtiment très aéré et d’avoir une très bonne ventilation naturelle, (…) avoir un espace de couchage très confortable pour les animaux »
Au niveau de la traite, les éleveurs ont opté pour la salle de traite parallèle Xpressway 2x10.
« Nous voulions gagner du temps au niveau de la traite. Et donc avoir un outil plus performant et plus moderne… » explique Benoît Gavel
Ils pré-trempent avec le système FoamMAX : pour un nettoyage simple et sans effort des trayons à la mousse. Ils essuient avec un chiffon en papier et tirent les premiers jets.
Après la traite, ils appliquent un produit de post-trempage, le BlueMAX avec l’outil DipMAX qui se compose d’une pompe, d’un kit d’installation et d’un pistolet.
« C’est une pompe qui prend directement le produit dans le bidon et qui l’emmène jusqu’au pistolet. Cela évite le geste de pincement qui est quand-même répété et peut être à l’origine de douleurs au bout d’un certain temps », indique Benoît Gavel
Les deux avantages de ces systèmes relevés par les éleveurs :
Le contrat Service Star assure une maintenance de vos équipements de traite sur la durée et vous garantit un approvisionnement régulier en produits d’hygiène.
« Ce service nous permet de ne jamais être en rupture de produits d’hygiène. Tout est programmé à l’avance. Le passage du technicien également et ça permet que tout soit fait dans les temps. » affirme Benoît Gavel.
Ce qui leur a plu chez BouMatic, c’est d’avoir une réponse globale à l’ensemble de leur besoins.
Benoît Gavel : « Que ce soit sur la machine à traite, sur la partie pré-traite et post-trempage mais aussi sur tout ce qui est poste de traite, barrières, gestion du lisier. BouMatic nous permet d’avoir une offre globale sur ce dont on avait besoin en équipement d’élevage. »
"C’est pratique, c’est simple et c’est confortable !" Conclut Benoît Gavel